« C’est stiquidit quiyé » ou ma sympathie au Député de la Nation UMP Aubert par Grégory Baudouin

Rappel des faits : Madame le Président Sandrine Mazetier sanctionne le Député Aubert puisque celui-ci l’a appelée Madame le Président alors qu’elle tenait le perchoir. Mais les Députés n’ont-ils donc rien d’autres à faire que de se chicorer comme dans une petite cour de maternelle * à la limite du « c’est stiquidit quiyé » ? N’y a-t-il rien d’autre à faire alors que la France, comme le monde, est en guerre contre l’islam radical, alors que la France en particulier est en guerre contre l’économie que veut lui imposer l’hydre bruxelloise ?

Mme Mazetier est une féministe jusqu’auboutiste. Elle appuie son argumentation sur un règlement interne. Elle, qui se dit législateur, ferait bien de se rappeler l’an de ses années de droit (si tant est qu’elle est fait du droit) et la hiérarchisation des normes. Un règlement interne vient loin, très loin après la loi et ce qui fait force de loi en matière orthographique, grammaticale etc. en France, ce sont les décisions de l’Académie Française comme le dit le Député de la Nation Aubert.

Il suffit donc d’ouvrir n’importe quel dictionnaire pour s’apercevoir que Madame la Présidente est la femme du Président, que Madame le Maire est la femme du Maire et que comble de l’inculture, d’aucuns qualifient certaines édiles Madame la Mairesse quand celles-ci sont premier magistrat de la commune. Madame la Mairesse, c’est la femme du Maire, point. Madame Mazetier ferait bien de réfléchir avant de bondir et griffer comme on le voit sur la vidéo « du forfait » ou du « crime de lèse-majesté », et regarder au dehors de sa bulle pour lire les « bulles » des académiciens ; celles-ci, et uniquement celles-ci, font force de loi dans la neuvième édition du dictionnaire et les questions de langue.  

Mme Mazetier serait inspirée de convenir du ridicule achevé que d’aucuns veulent imposer dans une course échevelée en avant, ou plutôt en arrière, pour une simplification de notre langue et donc son appauvrissement. L’exemple le plus parlant en est, je pense : la cheffe. Elle a fait preuve d’idéologie jusqu’auboutiste et s’est présentée à visage découvert comme un chefaillon (avec un seul F et non une cheffaillonne), utilisant sa parcelle de pouvoir non pas en mettant une amende au Député Aubert, vers lequel va toute ma sympathie, mais en lui retirant une partie substantielle de son indemnité de Parlementaire. Celui-ci par contre était bien démuni lorsque ce vice-président à utiliser l’insulte en lui disant «Monsieur la députée vous étiez la dernière oratrice inscrite, la discussion générale est close ...». Lui maniait français, elle maniait l’insulte comme une dominatrice manie le fouet.

Mais pouvait-il en être autrement quand ces féministes, ces caricature de féministes, arrivent à obtenir quelques parcelles de pouvoir. Elles sont pis que des chiennes de garde, ces féministes caricaturales qui bondissent dès qu’on vocalise le mot « homme ». Dans le genre jusqu’auboutiste, dans ce cas, et bien que ne cautionnant pas leurs actions, je préfère les femen qui utilisent leurs seins, symbole d’amour et de maternité, comme des armes.

*Mais savez vous que le dernier combat de dame Mazetier est de faire débaptiser les écoles maternelles, car trop empreintes dans leurs épithètes de rabaissement de la femme à son statut unique de mère (être mère n’est ce pas la plus belle des choses, comme être père ?) pour revenir à l’ancienne appellation école communale. Et elles nous disent qu’elles ne veulent que l’avenir et le progrès en revenant 100 ans en arrière… va comprendre Charles.

L’heure du repos n’est pas arrivée, que la Force soit avec vous, Salut et Fraternité.

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Ce blog de grinchitude n'est que le reflet de la gravitude de ce monde. Un point de vue décalé, corrosif, impertinent, iconoclaste, totalement inique, subjectif et partial, rude souvent, paillard...

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