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Grégory Baudouin

Grégory Baudouin

Patriote et Républicain, ancien membre des Troupes Aéroportées, Président-Fondateur du Cercle Jean Moulin, mes références sont Jean Pierre Chevènement, Jean Moulin et le Général de Gaulle


On ne peut courir deux lièvres à la fois : sa carrière et l’intérêt général par Grégory Baudouin

Publié par Grégory Baudouin sur 14 Janvier 2016, 20:55pm

Catégories : #Grégory Baudouin, #la Chronique

On doit être à l’image de la société dans laquelle on vit dit Julien LEPERS, aux Grandes Gueules. Le souci est que la société n’est pas une société de bisounours. Le souci est que notre société est violente. Violence physique, violence morale, violence psychique… Toute la panoplie des violences existe de nos jours. Licenciement d’une star, licenciement d’ouvriers... On peut penser que Julien LEPERS en a mis un peu plus de côté que les Goodyear ou encore les Conty. Mais la forme du licenciement est violente. Il n’empêche qu’avec lui, son équipe est virée du jour au lendemain. Et on peut augurer que celle-ci ne touchait pas les mêmes salaires que l’animateur vedette.

 

L’avenir. Il sera recasé, s’il a les réseaux qu’il faut, ou il sera perdu, sans travail, ou faisant un ersatz de question sur un champion sur une obscure chaine du câble. Mais il n’empêche que les Conty, les Goodyear, les Arcelor Mittal, les Lejaby etc… Eux sont restés sur le carreau. Qu’est-ce qu’on leur a proposé ? Monter une SCOP. Elles se cassent toutes la gueule, les unes après les autres, et non point d’avenir dans la société d’aujourd’hui. Etre autoentrepreneur ? Ce formidable statut, qui fait croire qu’on va devenir, non pas entrepreneur, mais chef d’entreprise, à essayer n’ont pas même de dégager un salaire, mais un chiffre d’affaires. Ce statut n’est qu’un cache sexe de la misère de l’emploi. Non pas une issue de secours, mais une voie de garage, comme tous ces emplois « aidés », pacte pour l’emploi, contrat jeunesse, contrat sénior, etc…

 

Pour l’emploi, comme le dis Jean-Pierre CHEVENEMENT, comme en tout domaine, il faut une politique volontariste. Certes, une fois qu’on a dit cela, on a tout dit, et en même temps on a rien dit. On peut nous demander à bon droit : Quand ? Comment ? Quoi ? Avec quels moyens ?…

 

Un gouvernement de Salut Public serait un bon moyen. Une avancée déjà. Et c’est l’idée qu’avance, entre autre, République Moderne, avec une France en grand. Jean-Pierre CHEVENEMENT au 1er Colloque de RM a dit : « je vous le dis de suite, je ne suis pas candidat en 2017 ». Peu me chaut son âge !!! Lui candidat, ça aurait de la gueule !!! A l’inverse, d’autres candidatures fantaisistes, grotesques, et sans légitimité aucune, pour peu qu’elles n’aient pour ambition que d’aller au bout (et le puissent !), que ce ne soit pas là juste pour négocier un strapontin ministériel. Pour d’autres, avec une très hypothétique victoire de la gauche en 2017. Ceci étant, François le petit est tant stratège, que s’il parvient à s’imposer dans son camp.

 

Je le vois bien réussir le pari de 2017, à l’instar de ce que fit MITTERRAND en 1988, la grandeur en moins. On le voit bien là dans ces cas. Ce n’est pas de vision politique qu’il y a, mais pure carriérisme, et vision personnelle. Les Goodyear, les Conty, les Arcelor Mittal, les Lejaby etc…, aimeraient, eux aussi, avoir une vision de leur avenir. Mais ces gens ne peuvent courir deux lièvres à la fois, le bien général et le leur.

 

Par le ciel, partout, pour tous, avec vigilance et persévérance, l’heure du repos n’est pas arrivée. Que le Force soit avec vous, Salut et Fraternité.

 

On ne peut courir deux lièvres à la fois : sa carrière et l’intérêt général par Grégory Baudouin
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