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Grégory Baudouin

Grégory Baudouin

Patriote et Républicain, ancien membre des Troupes Aéroportées, Président-Fondateur du Cercle Jean Moulin, mes références sont Jean Pierre Chevènement, Jean Moulin et le Général de Gaulle


  Trop poli pour être honnête par Jean Claude Blanc

Publié par Jean Claude Blanc sur 11 Mars 2014, 20:43pm

Catégories : #la Chronique, #Jean Claude Blanc

                           Trop poli pour être honnête

 

Alors qu’il entamait sa marche triomphale

Tellement avait menti, qu’à une heure vespérale

D’un mois de mai maudit, la France choisit le mou

Il promit le changement et la justice pour tous

 

De retour à Paris, à bord d’un jet privé

La Bastille envahie de drapeaux étrangers

Les artistes généreux, avec l’argent public

Lançaient le quinquennat du petit boulimique

 

Celui qui se vantait, rassembler le pays

Méprisa le perdant et la France avec lui

En guise de de premier geste, au sommet du perron

Présenta son séant, quenelle à sa façon…

 

Les affaires lancées, et l’euphorie passée

Hollande découvrit, les ficelles du métier

La crise, que jusqu’alors, il ne voulait pas voir

Alimentait ses nuits, ses jours de cauchemars

 

Le monde a bien changé, depuis 81

Nouvelle gauche momifiée, ne veut pas changer d’ère

Unique œuvre accomplie, soufflée par ses adjoints

Détruire les emplois, essaimer la misère

 

Suffit de quelques mois, moins d’an seulement

Il aura réussi, avec grand talent

A reléguer la France, dans le camp des perdants

Tout en scandant en vain, « le changement, c’est maintenant »

 

Mais sur ce point au moins, ne nous a pas menti

Le changement est criant, depuis ce jour maudit

Où le peuple berné, a porté au pouvoir

Le chef le plus mauvais de notre longue histoire

 

Lui Président voulait, rompre avec le passé

Prendre de la hauteur, montrer sa dignité

Mais se vautra très vite, dans la médiocrité

A croire qu’il avait feint, son souci d’unité

 

Lui Président voulait, incarner vrai pouvoir

De la normalité, s’en était fait devoir

Les citoyens surpris, que ce bon gros flemmard

Ne gouvernait pas même, dans son propre plumard

 

Lui Président voulait, rompre avec les banquiers

Où la France reconnue, écoutée des alliés

Il réussit l’exploit, d’un revers de main

De fâcher la Nation, avec cousins germains

Lui Président voulait, se rapprocher des gens

Se faire aimer des petits, et contenter les grands

Mais sa légèreté, aux affaires de l’Etat

Dans l’abime des sondages, pour longtemps le plongea

 

Lui Président voulait, mener tous les débats

Même le mariage pour tous, que la France ne veut pas

L’a fait passer en force, malgré la fronde qui gronde

Ce diable de socialo, le mal, en lui, abonde

 

La machine est en panne, l’économie en crise

La croissance, un souvenir, il n’a plus la maîtrise

Et si en mai dernier, les français ont choisi

Ceux qui vont nous ruiner, fatalement ont menti

 

Alors, ne laissons pas ces vendeurs de misère

Détruire plus encore, le pays des Lumières

Faisons jaillir la flamme, ranimons cette braise

Renvoyons au plus vite, Pépère, dans sa Corrèze

 

 

Ce texte n’est pas de moi, aussi je le regrette

Suis rassuré quand même, que tous on est en quête

D’un avenir meilleur, pour toujours faire la fête

Faudra un de ces jours, qu’on fonce bille en tête

 

Merci, cher anonyme, mon Frère par l’intime

Témoignage succulent, qui décrit bien la ruine

Le pouvoir rend foldingue, seul compte les lauriers

Faut pas anticiper, car ce n’est pas gagné

 

Hollande ou Sarkozy, vois pas la différence

Copains comme cochons, se remplissent la panse

Lentement on décline, le mot démocratie

Sociale, puis libérale, ainsi on est trahis

 

Ce message vous confie, d’un illustre inconnu

A mon tour, prends ma plume, pour poursuivre son récit

Suis d’accord sur tout, ai le même point de vue

« Si tous les gars du monde, se tenaient la mimine… »

 

Le système est usé, Constitution vétuste

Ce Parlement de vieux, a peur qu’on le brusque

Roitelet au sommet, nous sert de guignol

Gaillard malgré son âge, toujours il batifole…

 

A vous chers compagnons, d’en rajouter une couche

Nos gouvernants plastronnent mais sont pas très farouches

Suffit d’ouvrir notre gueule, se sentent injuriés

Censurent nos idées, en, témoigne Dieudonné..  

De Gaulle en l’an 40, à mort condamné, la suite la connaissez (JC Blanc+anonyme janvier2014) 

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